In 1997 South Africa legalised termination of pregnancy services for all women living within the country. It is now more than a
decade since Choice on Termination of Pregnancy (CTOP) services have been implemented however, the state of the
infrastructure of CTOP services in public health facilities is a cause for concern. The assessment of the quality of CTOP services
in public health facilities has been seriously neglected. The objectives of the study were to assess, determine and evaluate the
challenges related to the quality of the infrastructure of CTOP services in public health facilities. A quantitative, nonexperimental cross-sectional survey design was used. The population comprised of facility/quality managers, registered
professional nurses and midwives. A universal sampling method was used. Data was collected from healthcare professionals who
were involved in procuring CTOP services. The public health facilities were assessed in terms of space adequacy, provision of
privacy, availability of ablution facilities, rest room as well as human and material resources using the Donabedian model. It was
found that insufficient provision was made to the infrastructure of public health facilities to accommodate the high demand for
CTOP services. Structural challenges remain a barrier in meeting the objectives of the CTOP services. There is evidence of
significant differences between the facility/quality managers versus the professional nurses regarding their response to space
provided for rendering CTOP services. The study recommends the revitalisation of the structure of CTOP services to improve the
quality rendered. (Afr J Reprod Health 2020; 24[1]: 106-114)
En 1997, l'Afrique du Sud a légalisé l'interruption des services de grossesse pour toutes les femmes qui habitent dans le pays.
Cela fait maintenant plus d'une décennie que les services Les services du Choix à l'interruption de grossesse (CIG) ont été mis en
oeuvre, mais l'état de l'infrastructure des services du CIG dans les établissements de santé publics est préoccupant. L'évaluation
de la qualité des services du CIG dans les formations sanitaires publiques a été sérieusement négligée. Les objectifs de l'étude
étaient d'évaluer, de déterminer et d'évaluer les défis liés à la qualité de l'infrastructure des services du CIG dans les
établissements de santé publics. Un plan d'enquête quantitatif et non expérimental a été utilisé. La population se composait de
gestionnaires d'établissements / de qualité, d'infirmières professionnelles autorisées et de sages-femmes. Une méthode
d'échantillonnage universelle a été utilisée. Les données ont été recueillies auprès de professionnels de la santé impliqués dans la
fourniture de services du CIG. Les installations de santé publique ont été évaluées en termes d'adéquation de l'espace, de
protection de la vie privée, de disponibilité des installations d'ablution, des toilettes et des ressources humaines et matérielles à
l'aide du modèle donabédien. Il a été constaté que l'infrastructure insuffisante des établissements de santé publique n'était pas
suffisamment adaptée pour répondre à la forte demande de services du CIG. Les défis structurels restent un obstacle à la
réalisation des objectifs des services du CIG. Il existe des preuves de différences significatives entre les gestionnaires de
l'établissement / la qualité et les infirmières professionnelles en ce qui concerne leur réponse à l'espace fourni pour la prestation
des services du CIG. L'étude recommande la revitalisation de la structure des services du CIG pour améliorer la qualité rendue.
