The stress of the midwife : experiences of advanced midwives working in obstetric emergency units in Johannesburg, South Africa

Abstract

Obstetric emergencies account for the majority of causes of maternal deaths. The major causes of maternal and neonatal deaths in obstetric emergencies include bleeding, pregnancy-induced hypertension, cord prolapse, shoulder dystocia, poor progress, placenta abruptio, placenta praevia and amniotic fluid embolism. These adverse labour and birth events cause emergency situations and trauma for the nursing staff involved. A qualitative, descriptive phenomenological research design was used to explore and describe the lived experiences of advanced midwives regarding the management of obstetric emergencies in Midwife Obstetric Units (MOUs) of Gauteng Province, South Africa. An interview guide was prepared with a major question which was followed by probing questions based on the participant’s responses. Semi-structured, face-to-face individual interviews were used to collect data from thirteen (13) advanced midwives who were purposively selected and had been working in the Midwife Obstetric Units for two years or more after obtaining their qualifications. The Midwife Obstetric Units were selected based on the records of their birth statistics. The seven Collaizi’s procedural steps were utilised for data analysis. Measures to ensure the trustworthiness of the study were observed within the naturalistic paradigm comprising criteria of credibility; transferability; dependability; and confirmability. Three themes with sub-themes emerged from the current study, namely: psychosocial stress; advanced midwives’ workload; and lack of professionalism. In conclusion, it was evident that advanced midwives experience psychosocial stress because of unconducive working environments which are not adequately resourced, and high expectations from patients and their families. Management should support advanced midwives with the necessary resources that will enable them to perform their duties effectively and minimise their levels of stress and trauma.

Les urgences obstétricales représentent la majorité des causes de décès maternels. Les principales causes de décès maternels et néonatals dans les urgences obstétricales comprennent les saignements, l'hypertension induite par la grossesse, le prolapsus du cordon, la dystocie des épaules, la mauvaise progression, le décollement placentaire, le placenta praevia et l'embolie amniotique. Ces événements indésirables liés au travail et à l'accouchement provoquent des situations d'urgence et des traumatismes pour le personnel infirmier concerné. Une conception de recherche phénoménologique qualitative et descriptive a été utilisée pour explorer et décrire les expériences vécues par des sages-femmes avancées concernant la gestion des urgences obstétricales dans les unités obstétricales de sages-femmes (MOU) de la province de Gauteng, en Afrique du Sud. Un guide d'entretien a été préparé avec une question principale suivie de questions d'approfondissement basées sur les réponses des participants. Des entretiens individuels semi-structurés en face-à-face ont été utilisés pour collecter des données auprès de treize (13) sages-femmes avancées qui ont été sélectionnées à dessein et qui travaillaient dans les unités d'obstétrique des sages-femmes depuis deux ans ou plus après avoir obtenu leurs qualifications. Les unités d'obstétrique des sages-femmes ont été sélectionnées sur la base des dossiers de leurs statistiques de naissance. Les sept étapes procédurales de Collaizi ont été utilisées pour l'analyse des données. Des mesures pour assurer la fiabilité de l'étude ont été observées dans le paradigme naturaliste comprenant des critères de crédibilité ; transférabilité; fiabilité; et la confirmabilité. Trois thèmes avec des sous-thèmes ont émergé de la présente étude, à savoir : le stress psychosocial; charge de travail avancée des sages-femmes ; et manque de professionnalisme. En conclusion, il était évident que les sages-femmes avancées subissent un stress psychosocial en raison d'environnements de travail peu propices qui ne disposent pas de ressources suffisantes et des attentes élevées des patients et de leurs familles. La direction doit soutenir les sages-femmes avancées avec les ressources nécessaires qui leur permettront de s'acquitter efficacement de leurs tâches et de minimiser leurs niveaux de stress et de traumatisme.