Searching for balance but finding guilt : a story of academic mothers in South Africa
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Date
Authors
Pillay, Venitha
Journal Title
Journal ISSN
Volume Title
Publisher
Council for the Development of Social Science Research in Africa
Abstract
This article draws on the data from a larger ethnographic study which tracked
the lives of three academics who had just become mothers. In it, I respond to
the question I have repeatedly encountered, in a variety of forms: How can
I be an academic and a mother without going insane? Two linked thematic
issues emerge from the data: (a) the search for balance between academic
work and motherhood is elusive; and (b) academic mothers are torn apart by
guilt. In using Grosz’s idea that feminists need to consistently critique and
construct, I make a case for academic mothers seeking to ‘let go’ in order to
‘let in’ more liberatory ways of being ‘academic’ and ‘mother’. I argue too
that Grosz’s idea should be extended to include ways of destructing paralysing
notions of what it means to be an academic and a mother, simultaneously.
Ce papier s’appuie sur les données d’une vaste étude ethnographique qui a suivi la vie de trois nouvelles mamans universitaires. Dans cet article, je tente de répondre à la question qui m’a été posée à plusieurs reprises, sous différentes de formes, au cours des présentations du livre : « comment puisje être universitaire et mère, sans perdre la tête ? ». Deux questions thématiques liées découlent des données : a) la recherche de l’équilibre entre le travail universitaire et la maternité est insaisissable ; et b) les mères universitaires sont déchirées par la culpabilité. En utilisant l’idée de Grosz selon laquelle les féministes doivent constamment critiquer et construire, je prends le cas des mères universitaires qui cherchent à « lâcher prise », afin d’ « adopter » plus de moyens émancipateurs pour être universitaire et mère. Je démontre aussi que l’idée de Grosz devrait être élargie pour inclure les moyens de détruire les notions qui bloquent la signification d’être universitaire et mère.
Ce papier s’appuie sur les données d’une vaste étude ethnographique qui a suivi la vie de trois nouvelles mamans universitaires. Dans cet article, je tente de répondre à la question qui m’a été posée à plusieurs reprises, sous différentes de formes, au cours des présentations du livre : « comment puisje être universitaire et mère, sans perdre la tête ? ». Deux questions thématiques liées découlent des données : a) la recherche de l’équilibre entre le travail universitaire et la maternité est insaisissable ; et b) les mères universitaires sont déchirées par la culpabilité. En utilisant l’idée de Grosz selon laquelle les féministes doivent constamment critiquer et construire, je prends le cas des mères universitaires qui cherchent à « lâcher prise », afin d’ « adopter » plus de moyens émancipateurs pour être universitaire et mère. Je démontre aussi que l’idée de Grosz devrait être élargie pour inclure les moyens de détruire les notions qui bloquent la signification d’être universitaire et mère.
Description
Keywords
Academic mothers
Sustainable Development Goals
Citation
Pillay, V 2012, 'Searching for balance but finding guilt : a story of academic mothers in South Africa', Journal of Higher Education in Africa, vol. 10, no. 2, pp. 139-156.