Though tertiary students studying health-related programs are assumed knowledgeable about family planning, this does not always
translate to increased use of family planning services. In a cross-sectional survey, this study assessed 411 nursing, midwifery and
allied health students' knowledge of family planning, contraceptive use, perceptions, and factors affecting the utilisation of family
planning services. Each student completed a 24-itemised questionnaire in a Computer-Assisted Personal Interviewing Survey. The
data was analysed with Stata /IC version 16. Statistical significance was set at p<0.05. Overall knowledge of family planning was
99.7%, commonly gained in school (51.8%), followed by clinics and hospitals (41.4%). Only 21.7% of the students used family
planning services. Menstrual cramps (57.9%), infertility (33.1%), and weight gain (32.5%) were the commonly perceived side
effects of contraceptive use. The high proximity of participants to family planning service providers and lack of community, family,
and partner acceptance of modern contraceptives were associated with underutilisation. Despite the high level of knowledge of
family planning, the student's utilisation of family planning services was poor. To boost family planning service uptake among
tertiary health students, it is essential to tackle barriers related to community, family, and partner acceptance. This can be achieved
through educational programs that involve men in family planning discussions and by enhancing service accessibility.
Même si les étudiants du supérieur qui étudient dans des programmes liés à la santé sont censés connaître la planification familiale,
cela ne se traduit pas toujours par une utilisation accrue des services de planification familiale. Dans le cadre d'une enquête
transversale, cette étude a évalué les connaissances de 411 étudiants en soins infirmiers, obstétricaux et paramédicaux en matière
de planification familiale, d'utilisation des contraceptifs, de perceptions et de facteurs affectant l'utilisation des services de
planification familiale. Chaque étudiant a rempli un questionnaire en 24 points dans le cadre d'une enquête par entretien personnel
assisté par ordinateur. Les données ont été analysées avec Stata/IC version 16. La signification statistique a été fixée à p<0,05. La
connaissance globale de la planification familiale était de 99,7 %, généralement acquise à l'école (51,8 %), suivie par les cliniques
et les hôpitaux (41,4 %). Seulement 21,7% des étudiants ont utilisé les services de planification familiale. Les crampes menstruelles
(57,9 %), l'infertilité (33,1 %) et la prise de poids (32,5 %) étaient les effets secondaires couramment perçus de l'utilisation de
contraceptifs. La grande proximité des participants avec les prestataires de services de planification familiale et le manque
d'acceptation des contraceptifs modernes par la communauté, la famille et les partenaires étaient associés à la sous-utilisation.
Malgré le niveau élevé de connaissances en matière de planification familiale, l'utilisation des services de planification familiale par les étudiants était faible. Pour stimuler le recours aux services de planification familiale parmi les étudiants de l'enseignement
supérieur en santé, il est essentiel de s'attaquer aux obstacles liés à l'acceptation par la communauté, la famille et les partenaires.
Cet objectif peut être atteint grâce à des programmes éducatifs qui impliquent les hommes dans les discussions sur la planification
familiale et en améliorant l'accessibilité des services.