The Council for Higher Education notes the lack of women doing research in South
African universities. Focusing on the experiences of South African women academics,
this article highlights the ways in which inequitable gender relations fuel women’s
marginalized position in higher education. The findings reported here include the
gendered dimensions of negotiating home and work, pointing both to obstacles that
limit women’s agency and to prospects for hope by elucidating new possibilities for
the development of women’s agency. Being women in higher education and mothers
is at the same time is regulated by restrictive understandings of gender. But women
are not simply victims of this discourse. Hence, greater care must be taken in
understanding women’s gendered roles that inhibit their greater participation in
research. Transforming gender relations and working towards equity are, therefore,
crucial to women’s success.
Le Conseil de l’enseignement supérieur relève que très peu de femmes font
de la recherche dans les universités sud-africaines. En se basant sur les
expériences des femmes universitaires sud-africaines, ce document démontre
la façon dont l’inégalité de genre augmente la marginalisation des femmes
dans l’enseignement supérieur. Les résultats présentés ici comprennent les
dimensions genre qui consistent à allier maison et travail tous deux démontrant
les obstacles qui limitent l’activité des femmes et les espoirs qu’elles gardent
en perspective en élucidant de nouvelles possibilités pour le développement
de leur activité. Des compréhensions restrictives du genre réglementent les
5- Bhana femmes qui sont à la fois dans l’enseignement supérieur et mères, mais les
femmes ne sont pas simplement victimes de ce discours. Cependant une
plus grande attention doit être prêtée pour comprendre le rôle des femmes
dans le genre et ce qui les empêche à participer grandement à la recherche.
Transformer les relations de genre et travailler pour l’équité sont essentiels
à la réussite des femmes.