Indigenous communities are richly endowed with some unique knowledge. This knowledge was for much of history held only by these indigenous communities, and was unwritten because it is transmitted orally from one generation to the next, forming part of their ancestral heritage. This knowledge may be in the field of medicine, agriculture, music, dance, folklore, poetry, ecology, biodiversity, artistic, spiritual, and cultural expressions. This is what is referred to as Traditional Knowledge (TK). TK relating to biological resources today is greatly threatened as it is exploited and registered without the knowledge of their holders for Intellectual Property (IP) protection by researchers from developed countries through bio-piracy. Even though the World Trade Organisation (WTO) Trade Related Aspects of Intellectual Property Rights Agreement (TRIPS Agreement) requires individual member states to choose whether to protect their plant varieties through sui generis laws or through IP laws, developing countries in general, and South Africa in particular face, several challenges in seeking to protect their TK.
TK has been defined as;
'tradition-based literary, artistic or scientific works; performances; inventions; scientific discoveries; designs; marks, names and symbols; undisclosed information; and, all other tradition-based innovations and creations resulting from intellectual activity in the industrial, scientific, literary or artistic fields'.
Les communautés indigènes sont dotées de connaissances qui leur sont uniques. Ces connaissances sont, pour la plupart, non-écrites connues seulement par les membres des ces communautés, transmises oralement de générations en générations et faisant partie du patrimoine hérité de leurs ancêtres. Ces connaissances peuvent être du domaine de la médecine, de l'agriculture, de la musique, du folklore, de la poésie, de l'écologie, de la biodiversité, des expressions artistiques, spirituelles et culturelles. C'est cet ensemble de connaissances que l'on appelle « Connaissances Traditionnelles ». Les Connaissances Traditionnelles portant sur les ressources biologiques sont, de nos jours, en danger dans la mesure où elles sont exploitées et enregistrées, a l'insu de leur détenteurs, pour des raisons de protection de la propriété intellectuelle a travers la bio-piraterie par les chercheurs venant des pays développés. Bien que l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), a travers son Accord sur les Aspects des Droits de Propriété Intellectuelle (Accord ADPIC), demande a chaque Etat Membre de choisir de protéger ses variétés végétales par des lois Sui Generis ou a travers les lois portant sur la Propriété Intellectuelle, les pays en développement en général, et l'Afrique du Sud en particulier, font face a de nombreuses difficultés lorsqu'ils cherchent a protéger leurs Connaissances Traditionnelles.