In this explorative comparison between the Voortrekker Monument (G.L. Moerdijk, 1949) and the Freedom Park project (Mashabane Rose Architects, 2003 ongoing) on opposite hills south of Pretoria, the obvious differences in language and ideology of these monuments may be outweighed by the similarities in their conception and history. Both projects aim to unite disparate factions into new national identities, using architecture with reinforcing religion and ritual to facilitate this. These strategies are examined and compared and the monuments are evaluated to determine whether they can be considered to be spiritual altars. In the case of the Voortrekker Monument, the described strategies were used to promote Afrikaner “Christian Nationalism”, a religio-political agenda that was restrictive and divisive. This raises the question whether Freedom Park’s similarities imply similar potential.
Dans cette comparaison entre le Monument des Voortrekkers (G.L. Moerdijk, 1949) et la Place de la Liberté (Mashabane Rose Architects, 2003, en cours) sur des collines au sud de Pretoria, il semble que les différences frappantes de style et d’idéologie sont peut-être moins importantes en définitive que leur ressemblance en termes de conception et d’histoire. Les deux projets visent à unifier des groupes disparates en de nouvelles identités nationales, en utilisant un symbolisme architectural fondé sur les rites et la religion. Ces stratégies sont examinées et comparées; les deux monuments sont examinés en termes d’autels spirituels. Le Monument des Voortrekkers a servi à construire le nationalisme Afrikaner «chrétien», avec les résultats qui ont désuni et limité. Ses ressemblances avec la Place de la Liberté impliquent-elles des objectifs similaires?